Gods Games
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Sommes-nous les jouets des dieux ?
Dans ce forum RP, des rencontres crues impossibles pourront avoir lieu
entre d'illustres ressuscités et des personnes de notre siècle

 
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 J'y suis, j' y reste

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2 participants
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Daniel McIntosh

Daniel McIntosh


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Date d'inscription : 16/03/2011
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MessageSujet: J'y suis, j' y reste   J'y suis, j' y reste EmptyDim 10 Avr - 18:02

Que s’était-il passé ? Il n’en savait plus trop rien sauf qu’il s’éveilla complètement groggy au milieu de l’allée de la cabine des passagers en classe touriste.
Moitié rampant, moitié marchant, Dan avait regagné son siège. Il avait un peu mal au cœur.
S’asseyant lourdement, il constata que sa voisine de siège reprenait ses sens.
Incapable de plus d’efforts, il s’affala, yeux clos. Elle dut croire qu’il dormait :


Mr McIntosh !! Réveillez-vous ? Je crois qu’il se passe des choses bizarres.

Bizarres ? Elle en avait de bonnes !

Ne dites rien… Me sens pas bien…

Miss Brightman se tut un moment, le temps qu’une annonce du staff résonne à leurs oreilles.

*Ah… Sont même pas fichus de savoir où l’on est… On est saufs, déjà ça !*

Là-dessus, sa voisine émit une remarque :

Je savais qu’il y avait un souci…. Seriez-vous d’accord de venir avec moi voir le commandant, je voudrai en savoir plus ?

D’office, il secoua négativement la tête :

Allez-y si vous voulez, moi je ne bouge pas d’ici !

Il la vit papillonner de ses longs cils, comme choquée. Aussi poursuivit-il :

Le personnel s’occupe de tout. Pourquoi se mêler de ce qui ne nous regarde pas ?

Il appuya sur le bouton sonnant l’hôtesse à qui il réclama du café. Sa voisine en désirait aussi, ils burent en silence.
Un temps certain s’écoula. La discipline régnait à bord même si une certaine nervosité demeurait.
Pourquoi avait-on requis des personnes pour sortir ?


On dirait qu’ils vont en reconnaissance des lieux, s’efforça-t-il d’émettre. J’espère qu’ils auront de bonnes nouvelles à transmettre.

N’étant pas habitué à subir des discours, Daniel feignit de dormir en attendant que les choses se précisent. Une annonce le fit sursauter :

Mesdames, Messieurs, comme votre commandant de bord, je suis dans le regret de vous annoncer que notre escale involontaire risque de se prolonger. Ne vous inquiétez cependant pas : tout le monde pourra descendre de l’avion sans aucun risque. Des installations superbement aménagées sont prêtes à vous accueillir. Vous récupérerez vos bagages avant peu. Pour le déroulement satisfaisant des opérations, je vous prie de suivre les instructions que vous fournira le personnel de bord.

Bon… S’il pigeait, il devait prendre son bagage à main et vider les lieux.
De ce qu’il avait vu par le hublot, McIntosh constata de visu être bel et bien sous les tropiques.
Pas de véhicule pour les mener à destination, tous les passagers furent obligés de suivre un bonhomme en uniforme… à pied.
Il faisait chaud mais une brise de mer rendait l’atmosphère correcte.
Au loin, se dessina ce que Dan jugea être un village de vacances… Sauf qu’il manquait l’enseigne.
Regroupés sur une placette entourée de bungalows assez sympathiques, les voyageurs attendirent les instructions.


Les familles ou couples, se placent à gauche. Les isolés à droite ! clama une hôtesse.

En bref, on allait les parquer…
Sans trop s’en faire, Dan reçut une sorte de ticket lui attribuant le pavillon 23.
Fallait encore le trouver…
Renseigné par un steward, il put y poser ses pénates. Le pied ! C’était un bungalow superbe, tout confort avec piscine ! On aurait pu y loger à quatre sans souci.
Apparemment, il y avait de la place pour tous dans ce village mort.Dès qu’il prit possession de son nouvel espace vital, Dan se dépouilla de ses vêtements et piqua une tête dans l’eau chlorée.
Nager longuement le détendit. Il y passa la mi-journée.
Ses quelques effets personnels rangés dans les placards, il dut se rendre à l’évidence :


*Il n’y a rien à manger ici !*

Un beau Frigidaire trônait dans la cuisine équipée mais il était affreusement vide…
Les placards contenaient en tout et pour tout d’une dosette de café et de quelques biscuits.
Son estomac gargouilla, il avait besoin de quelque chose de plus substantiel.
Contraint et forcé de quitter son home, Daniel – en T-shirt et short – gagna la place d’accueil.
D’autres avaient eu la même idée. Une foule compacte cernait un assemblage de cailloux.


C’est fou, lui dit une autre voyageuse. On demande ce que l’on veut et on l’a !

Assez absurde mais réel.
Quand son tour arriva dans la file, Dan hésita dans sa formulation puis se lança selon ce qu’il avait vu :


Je désire des aliments nutritifs pour plusieurs jours.


Génial ! Le voilà doté de sachets de riz, pâtes et de pommes de terre…
Point de sauce ? Il s’y était sans doute mal pris.
Prêt à ramener ses biens au pavillon, une passagère tourna de l’œil dans la queue.


Y a-t-il un médecin, ici ?

L’instinct joua, Dan s’avança. Il examina brièvement la femme, diagnostiqua une légère déshydratation, recommanda repos et eau avant de se voir apostrophé :


Vous êtes toubib ? On a quelque chose pour vous !


Higgins – le commandant de vol– le mena alors à un pavillon inconnu.
Wow ! Le must des installations hospitalières. Tout y était… parfait. Armoires bourrées de produits divers, appareils de radioscopie, microscopes, ordinateurs, tables d’opération…


Vous êtes le seul maître à bord, docteur ! Bonne chance…

S’il pensait se la couler douce, McIntosh déchanta vite.

Les voyageurs vinrent rapidement lui confier leurs bobos.
Coupures, toux, œdèmes, etc. il ne chôma pas.
Par chance, deux autres voyageurs possédaient leur brevet de secouriste. Dan les engagea illico.
La vie s’organisa.
Le centre restait ouvert 24h sur 24. Au départ, ce fut facile : que des problèmes mineurs à gérer.
Le plus gros souci, c’était la dénutrition. La pierre requérant des bijoux en paiement de ses bienfaits, beaucoup se retrouvèrent vite à court de liquidité. Dan, lui-même, fut forcé de réclamer des émoluments en nature ou autres. Fallait bien manger pour tenir et régénérer ses stocks de médicaments !
Puis, il y eut ces arrivants…
Un naufrage devait avoir eu lieu au large. Tous les jours on lui ramenait des rescapés. Dan se dépensa sans compter.
Crevant la dalle, épuisé, il laissa le centre à ses assistants, et déserta.
Longeant la plage, McIntosh entrevit un feu et d’y dirigea. Trois personnes faisaient griller des langoustes.


Je peux me joindre à vous ? Bonsoir Luke, vous allez bien ? Tiens, Miss Brightman, comment vous portez-vous ?


Un peu étourdi par l’inanition et la fatigue, Dan s’assit sur le sable.

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Naomi Brightman

Naomi Brightman


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MessageSujet: Re: J'y suis, j' y reste   J'y suis, j' y reste EmptyVen 20 Mai - 19:04

Naomi toujours assise à sa place attendait la réponse de son voisin, elle voulait absolument savoir ce qui ce passait dans cet avion.
La réponse du jeune homme fut très compréhensible, il ne voulait pas bouger et assurait à la jeune femme que le personnel de bord s’occupait de tout et qu’il ne valait mieux pas s’emmêler.

Quelques instants plus tard, Daniel sonna une hôtesse pour avoir un café, Naomi en prit un également, une fois la tasse fumante entre les mains, il déclara :


On dirait qu’ils vont en reconnaissance des lieux. J’espère qu’ils auront de bonnes nouvelles à transmettre.

La miss le regarda et pensa la même chose, tous les passagers étaient inquiets, cela se voyait sur leur visage.
Naomi se tourna vers son voisin pour discuter, mais celui-ci avait fermé les yeux, elle le laissa donc tranquille.
Au bout d’une heure on entendit dans l’habitacle un message :


Mesdames, Messieurs, comme votre commandant de bord, je suis dans le regret de vous annoncer que notre escale involontaire risque de se prolonger. Ne vous inquiétez cependant pas : tout le monde pourra descendre de l’avion sans aucun risque. Des installations superbement aménagées sont prêtes à vous accueillir. Vous récupérerez vos bagages avant peu. Pour le déroulement satisfaisant des opérations, je vous prie de suivre les instructions que vous fournira le personnel de bord.

Naomi avait très bien compris, elle devait descendre de l’appareil. Prenant son bagage à main elle suivit le mouvement et se retrouva quelques minutes plus tard à terre. L’air était chaud, la vue magnifique, c’était en quelques sorte des vacances, même si ce n’était pas le moment, de toute façon elle n’avait pas le choix.

Quelqu’un réunissait les passagers en plusieurs groupes, les célibataires d’un côté, et les couples de l’autre.
La miss reçu un ticket avec un numéro, ce serait celui de son pavillon, le 26.

Sans demander rien à personne Naomi chercha son nouveau logement, il y a avait tout ce qu’il fallait à l’intérieur sauf bien sûr le plus essentiel, la nourriture. Comment allait-elle faire pour se procurer cette denrée ? Pas le choix il fallait sortir pour trouver quelque chose, elle vit non loin une masse de personne se presser devant un gros caillou, on lui raconta qu'en demandant ce qu’on souhaitait on l’obtenait.
Ni une, ni deux, la miss fit sa demande, elle reçu exactement ce qu’elle voulait, mais en contrepartie elle devait donnait des bijoux ou de l’argent, heureusement qu’elle en avait sur elle.

Plusieurs jours plus tard, Naomi apprit que des naufragés d’un bateau cherchaient refuge au village. C’est à ce moment qu’elle rencontra deux personnes, un couple apparemment.
Ils étaient très sympathiques, et un soir pendant qu’elle parlait avec eux et en train de manger, un jeune homme apparut dans son champs de vison, elle le connaissait du moins un peu.


Je peux me joindre à vous ? Bonsoir Luke, vous allez bien ? Tiens, Miss Brightman, comment vous portez-vous ?


Mr McIntosh ! Quelle surprise ! Je me porte à merveille, merci beaucoup. J’ai appris que vous aviez beaucoup de travail, vous avez l’air épuisé.
Installez-vous, et mangez avec nous.


Le dîner se passa très agréablement, on parla de tout et de rien, ce fut le moment de se séparer et d’aller se coucher, Naomi dit au revoir aux trois autres et retourna dans son pavillon, désespérément vide.
Elle avait passé une très bonne soirée et avait eu même une idée.

Le lendemain matin, la miss se retrouva devant le centre de soin, elle en avait marre de ne rien faire, et puis elle avait eu aussi une nouvelle pas très agréable en se levant.

Entrant à l’intérieur, elle vit de suite la personne qu’elle cherchait.


Daniel, bonjour, comment allez-vous ce matin ?.... Moi pas très bien, disons que j’ai besoin de faire quelque chose, alors je me suis dit que si vous aviez besoin d’aide, je suis disponible…. Je sais que je ne connais pas grand-chose en médecine, mais tout s’apprend.

C’est vrai que c’était complètement à l’opposé de ce qu’elle faisait habituellement, mais ici il n’y avait pas d’entreprise à diriger.
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Daniel McIntosh

Daniel McIntosh


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MessageSujet: Re: J'y suis, j' y reste   J'y suis, j' y reste EmptyVen 27 Mai - 14:58

Travailler sans relâche ou à peine n’était pas gai. McIntosh adorait son métier et à côtoyer les petites misères humaines, on s’humanise aussi.
Il comprit rapidement que des gens venaient au centre sous des prétextes fallacieux, dans l’unique but de causer à quelqu’un. Jouer au psy n’était pas très son fort mais si les gens en avaient besoin…
Du genre taiseux, Dan dut apprendre à écouter et répondre avec bon sens.
Frayer avec les autres le handicapait néanmoins souvent. Il se souviendrait longtemps de cette soirée bon enfant sur la plage en compagnie divertissante. Walker et Blakely étaient les gens les plus cools qu’il ait rencontré. De miss Brightman, il ne savait trop quoi penser puisqu’à part avoir été son voisin obligé de siège dans l’avion, il ne l’avait plus vue. Sans doute disposait-elle du bonne santé. À la fin de cette « party » improvisée, Dan se trouva un peu gêné de n’avoir que des consultations gratuites à offrir en échange des langoustes dégustées. Nul ne lui en tint rigueur, heureusement.
Le lendemain, il se retrouva assez vite débordé par la file de patients. Par chance, il disposait de deux infirmières plus ou moins diplômées mais on manquait cruellement d’autres médecins. Peut-être y en aurait-il dans les naufragés ? S’il y en avait dans l’avion, il l’aurait su, depuis le temps.
On venait d’amener une civière sur laquelle un inconnu se tordait de douleur. On l’avait trouvé par hasard au pied de la falaise, les membres fracturés. L’agitation battit son plein.
Selon ce qu’il diagnostiqua, Le Dr McIntosh en vint aux conclusions :


Nous allons devoir vous opérer rapidement. Ne vous inquiétez pas, il y a ici tout ce qu’il faut. *Sauf du personnel compétent !*

Dan donna ses ordres pour préparer patient et bloc opératoire. Il vérifia quelques données, ici et là, réquisitionnant les éléments d’une équipe chirurgicale qu’il envoya se vêtir.

*Merde ! Me manque une infirmière !*

Tout en se demandant comment s’en sortir avec si peu de personnel, il se dirigea vers la salle de désinfection quand on l’interpela :

Daniel, bonjour, comment allez-vous ce matin ?...

Euh… occupé. Et vous ?

Moi pas très bien, disons que j’ai besoin de faire quelque chose, alors je me suis dit que si vous aviez besoin d’aide, je suis disponible…. Je sais que je ne connais pas grand-chose en médecine, mais tout s’apprend.

On peut dire que vous tombez pile, Naomi ! On est assez débordé. Suivez-moi !

Hop, il lui saisit le poignet et la guida jusqu’à la pièce visée :

Vous n’avez qu’à copier mes gestes pour stériliser bras et mains.

Près des lavabos, d’un coup de coude, il leva la manette du robinet et y mouilla ses avant-bras puis ferma le robinet de la même façon. Empoignant une brosse dure, il y versa une dose d’un liquide brun et commença à se récurer du haut vers les bas pour terminer par les doigts. Le rinçage s’exécuta d’une manière similaire à la première aspersion. Séché de linges stériles, il sourit à la jeune femme qui avait suivi point par point ses gestes.

Maintenant on va en salle d’op. Gardez les mains levées coudes pliés et NE TOUCHEZ À RIEN. Cool ! Vais pas vous demander de recoudre le mec !

Il poussa la porte avec le dos et changea de pièce. Elle fit de même.
Une infirmière masquée et gantée s’occupa d’eux. Enfiler blouse, gants, se laisser coiffer et maquer : ils étaient prêts.
L’anesthésiste assura que le patient était prêt. Seules les jambes dénudées du blessé apparaissaient sur les champs stériles.


Je commence par la gauche. Il va falloir desserrer le garrot et le remettre si je le dis. Prête, Naomi ?


Même si elle avait un peu le regard affolé, elle opina.

Allez-y !


Sitôt l’étau relâché, l’artère déchirée gicla.

STOP !


Miss Brightman renoua le garrot. L’œil expert de Dan avait repéré la fuite ; il s’en chargea aussitôt.
Quand il travaillait, Dan oubliait complètement le reste du monde. L’infirmière lui passa exactement les instruments demandés, Le vaisseau majeur fut vite réparé.


Desserrez pour voir !


Naomi s’exécuta: aucun saignements violents.

Bien ! Le membre est sauvé.

Pour réduire les fractures, Dan eut besoin de la force physique d’Hamiton Groves, l’anesthésiste qui changea de place avec Naomi :

Vérifiez juste les chiffres de la tension. Enoncez-les régulièrement.

Quelques minutes plus tard, Miss Brightman reprit sa place. Poser des broches se fit sans heurts.
Lorsque toutes les plaies furent suturée avec soin, on lava et plâtra le membre et passa à l’autre.
Là, point de fractures ouvertes. Il suffit de quelques pressions pour remettre les os en bon ordre.
Enfin, Dan put ordonner de réveiller le patient.


Félicitations, tout le monde !

Sorti de salle d’op, le chirurgien laissa l’infirmière guider Naomi se changer et rafraîchir ; lui-même gagna les douches des hommes.
L’intervention avait pris plus d’une heure. Dan s’estimait satisfait étant donné les circonstances.
Il croisa à nouveau Naomi dans la salle d’accueil, l’air perdu :


Hey ! Vous n’allez pas vous sauver, hein ?... On a trop besoin de bonnes volontés et vous avez été super tantôt... Si vous voulez travailler, vous serez servie ! L’accueil ça va dit ? C’est pas chinois.

Il s’empara d’un bloc de papier préimprimé :

Suffit d’interroger un peu le patient et remplir les cases : nom, prénom, n° de bungalow, motif de la visite, antécédents médicaux, etc… ça ira ?

Elle assura que oui ; il la planta là et courut visiter d’autres cas.

Dire qu’il avait complètement oublié que Naomi Brightman existait serait… vrai. Il n’y pensa pas une seconde dans le tumulte de la journée. Un sandwiche sur le pouce entre deux examens à midi, le Dr McIntosh sentit soudain la fatigue lui tomber dessus à 20 heures quand la salle d’attente se vida enfin.


Vais chez moi, Chavez. Tu m’envoies chercher s’il le faut !

Titubant presque, Dan sortit à l’air libre. La brise marine était très agréable, il la goûta à pleins poumons. Non loin, dans la pénombre, il distingua une silhouette connue :

Naomi ? Encore là ?... Vous n’étiez pas obligée de rester si tard !... ça ne vous ennuie pas ? Tant mieux ! Bienvenue au club… Si j’ai dîné ? Euh, non… avalé un truc en passant tantôt…

Voilà qu’il était invité à manger un bout chez elle. La grande timidité de Dan reprit le dessus :

C'est à moi de vous inviter… Je suis de garde permanente aussi. Vous savez, la plupart des gens du centre sont des bénévoles. J’ai réclamé de l’aide à Higgins, il s’est fichu de ma poire en m’ordonnant de me débrouiller… Oui, il y a des stocks conséquents de médicaments… périmés, hélas. Tout ce que je possédais dans mes bagages a payé la pierre en fournitures valables… Une révolution ? Suis pas au courant, non. Racontez-moi ça en allant chez moi !

Elle lui prit le bras et, racontant, le mena jusqu’à son pavillon.
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