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Sommes-nous les jouets des dieux ?
Dans ce forum RP, des rencontres crues impossibles pourront avoir lieu
entre d'illustres ressuscités et des personnes de notre siècle

 
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 Euuuuh pourquoi on renaît nue ? [LIBRE]

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MessageSujet: Euuuuh pourquoi on renaît nue ? [LIBRE]   Euuuuh pourquoi on renaît nue ? [LIBRE] EmptyVen 9 Nov - 0:19

Un Bien-Être intense… Un Bien-Être calme. Un Bien-Être qu’elle n’avait pas ressenti depuis longtemps. D’ailleurs, l’avait-elle déjà ressenti ? Du moins, si ce fut le cas, elle ne s’en souvenait pas.

Les souvenirs… Ils n’étaient pas lointains. Mais ils n’étaient pas heureux. Le dernier souvenir qu’elle avait en tête était la douceur de la main de sa fille. Elle se rappelait avoir caressé le dos de cette main si douce. Elle se rappelait la force qu’elle avait dû invoquer en elle pour ouvrir une dernière fois les yeux et poser son regard sur le visage du fruit de sa chaire. Elle se rappelait sentir ce dernier frisson qui l’avait traversé avant qu’elle ne sente sa vie partir.

Sa vie… Elle l’avait perdue dans ce lit, près de sa vie. Pourquoi donc ressentait-elle ce Bien-Être en elle et pourquoi donc ressentait-elle cette brise sur son corps. Etait-elle encore en vie ? Doucement, elle ouvrit les yeux.
Dehors. Ce n’était pas son lit. Elle n’était pas chez elle. Elle était dehors. Bientôt, tous ses sens s’éveillèrent. Elle entendit alors un clapotis. Sa tête tourna légèrement de côté. Le fleuve auprès duquel elle était couchée coulait lentement dans son rivage. Elle ne le connaissait pas. Elle n’était pas pour autant inquiète. Elle se sentait toujours aussi bien. Elle se redressa lentement, ses yeux parcourant les alentours. Elle était sur une berge. Une berge déserte. Le fleuve devait surement conduire dans un village qui la reconduirait chez elle. Bientôt, ses yeux se posèrent sur son corps. Nue. Elle était nue. Instinctivement, la femme se mit à rire. Jamais elle ne s’était retrouvée dans cette situation. En soi, il n’y avait pas de quoi rire mais elle se retrouvait dans un endroit totalement inconnu, nue, alors qu’elle était censée être au bord de la mort.

Tout à coup, l’idée d’être belle et bien morte lui traversa l’esprit. N’était-elle pas au Paradis ? Eve était bien nue, après tout. Etait-ce comme cela que les morts entraient au Paradis ? Ah mais non, Georgiana ne pouvait pas entrer au Paradis dans cette tenue ! Elle avait une certaine pudeur et Dieu ne pouvait la voir ainsi. La Duchesse tourna sur elle-même avant de poser ses yeux sur une grande fougère. De ses douces mains, la femme récupéra la feuille et entoura sa partie féminine basse avant d’arracher une nouvelle feuille pour envelopper sa poitrine. Ce n’était pas la tenue la plus belle qu’elle ait connue, mais au moins ne passera-t-elle pas pour une courtisane auprès de Dieu. Un bruit au loin lui fit tourner la tête. Ses cheveux emmêlés volèrent. Mmmmh… Peut-être faudrait-il qu’elle pense à se les coiffer. Le bruit reprit, attisant sa curiosité. Avec plus d’attention, elle avait l’impression d’entendre des voix. Lentement, elle entama une marche douce et féminine ses pieds nus souillèrent la terre fraiche du matin. Plus elle avançait plus les voix se distinguaient. Des voix de femmes et d’hommes. Plusieurs voix. Elle ralentit le pas, se fit plus discrète et finit même par se baisser. Bientôt, elle atteignit un petit bosquet. Son regard traversa le feuillage. Un groupe de personnes se trouvait non loin. Devait-elle s’approcher ? Dans cette tenue ?! Euh…. LOL (genre là, c’est la duchesse qui parle… Non non, c’est bien moi, la blonde de service derrière son ordi !). La Duchesse resta accroupie et jaugea plus prudent d’observer ce groupe de personnes et d’écouter leur conversation. Qui sait, peut-être quelqu’un allait-il lui en apprendre d’avantage sur sa situation…
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Louis XIV

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MessageSujet: Re: Euuuuh pourquoi on renaît nue ? [LIBRE]   Euuuuh pourquoi on renaît nue ? [LIBRE] EmptyVen 9 Nov - 20:15

Qu’est-ce que cela signifiait ? Alors qu’avec ses compagnons il recherchait l’Impératrice égarée suite à une chute dans la forêt, Louis s’était retrouvé soumis à une force étrange qui l'avait plongé, ainsi que ses amis, dans un sommeil non moins étrange. Des bribes de conversation lui flottèrent dans le cerveau mais qu’il soit damné s’il s’en rappelait la teneur exacte en se réveillant, seul, non loin du grand fleuve. Où étaient passés Achille, Richard, Amelia, Sissi et Hélène ?
Il se souvenait parfaitement de tous les événements survenus depuis sa curieuse résurrection mais ne comprenait pas les récents.
ON les avait séparés ? QUI étaient-ils ? Quel était le but de tant de mystères ?
Achille jurait qu’il s’agissait d’un plan tordu des dieux. S’il avait été moins imprégné par sa foi en un Dieu unique, l’ex-roi de France aurait adopté cette conviction…
Quoiqu’il en soit, la volonté de Louis demeurait intacte. Durant son long règne, ceux qui résistaient étaient contraints de se plier à ses ordres. Ici, il avait dû apprendre durement une autre loi que celle instaurée par ses soins mais sa ténacité persistait. Quand Louis décidait quelque chose, il mettait tout en œuvre pour atteindre son but et n’y dérogeait pas.
L'actuel était simple : retracer ses compagnons.
Dénué de tous biens matériels, hormis ses frusques banales, Louis débuta sa prospection.
Son séjour en ces terres l’avait blindé contre bien des avatars et, très vite, Louis s’était « armé ». Rien de comparable avec son fourniment antérieur, il ne disposait que d’une fronde, un couteau de silex et d’un arc.
Le cheminement prudent lui fit plus d’une fois souhaiter croiser une de ces pierres magiques qui, priée humblement, pouvait accorder une foule de choses utiles. Hélas, il n’en rencontra aucune.
De ce côté du fleuve, quelle veine, peu d’âmes végétaient. Par expérience, Louis savait devoir se méfier des bandes errantes qu’il évita soigneusement. Le fleuve étanchait sa soif et lui offrait des poissons pour l’estomac. Que demander de plus ?


*Si tu refuses le contact, à moins d’un hasard monumental, tu ne les retrouveras jamais !*

Comme Hélène lui manquait ! Elle qui commençait à s’amadouer que devenait-elle ?
Il l’imaginait tapie dans un coin en l’attendant, lui, son héros !


Cela faisait un moment que Louis observait un petit groupe d’individus d’allure pas trop belliqueuse. Campement rustique composé de trois tentes autour d’un foyer central, vêtements de peaux grossières et puantes, l’ensemble paisible le décida d’autant que ces gens venaient d’abattre un sanglier qu’ils dépeçaient en dépit du bon sens. La main sur son poignard de fortune – sait-on jamais - Louis s’enhardit :

Holà, bonnes gens ! N’est-ce point-là sacrilège que de jeter ces succulents abats au fleuve !

Pris de court par cette cavalière intervention, ce groupe se tourna vers lui avec une méfiance teintée d’hostilité que Louis dédaigna par sa faconde coutumière :


N’avez-vous rien appris en ces lieux ? La vessie fera une outre très convenable mais farcie, elle sera succulente ! Boyaux et nerfs ont grande utilité…

On ne se gêna pas de le couvrir de moqueries, Louis s’en ficha… royalement et démontra ses dires avec dextérité lorsqu’il put approcher sans risque.
Le chef du groupe se présenta comme étant un ancien soldat russe. Sa femme, bien en chair, s’avéra être une ex-grande dame espagnole. Ces quatre couples, d’origine et histoires diamétralement opposées, vivotaient là depuis des mois en attente d’une sorte de miracle qui leur rendrait dignité et confort.
Les herbes glanées en cours de route par Louis agrémentèrent fortement le cuissot rôti. Néanmoins, au fil de la discussion, Louis se rendit compte que ces gens n’avaient pas connaissance des Pierres sacrées.


… Je vous assure que j’en ai déjà croisé plusieurs ! On pourrait fouiller les environs demain, non ?
Mais, parlant de fouilles, n’auriez-vous pas vu, aperçu, un grand type blond, assez costaud avec une jupette ?


La dénégation générale déprima Louis qui n’en perdit pas sa verve pour autant. Il avait tu son identité. Pourquoi affirmer être roi dans ce monde où tous étaient réduits à la portion congrue ? Il préféra de loin parler de ses aventures sur les rives du fleuve.


… Mes amis et moi avons construit une machine volante… Elle s’est écrasée mais nous avons survécus !... Puis, nous avons exploré des cavernes… On voulait sortir d'ici...

Que de souvenirs ! Son auditoire en était pantois. Oui, Louis adorait se raconter et, au moins cette fois, son ami grec ne le rosserait pas d’en rajouter ici ou là.
Vieux réflexe dû à d’autres soirées autour d’un feu, Louis ne tarda pas à ressentir le désagrément habituel qui lui démangeait la nuque quand il était observé. Quelque par dans les buissons en arrière, quelqu’un les surveillait.
Mine de rien, il prétexta un besoin naturel et s’écarta du feu en se dirigeant ostensiblement vers le fleuve proche. Dès que l’obscurité couvrit ses agissements, Louis fit une boucle et revint vers le campement. Il ne se trompait pas. Une vague silhouette accroupie et attentive se découpa dans son champ de vision. Qui donc osait espionner ainsi ?
Ami, ennemi ? On verrait bien. Sans crier gare, Louis lui sauta dessus :

Qui va là ? cria-t-il en plaquant l’observateur au sol, couteau brandi vers sa gorge.
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MessageSujet: Re: Euuuuh pourquoi on renaît nue ? [LIBRE]   Euuuuh pourquoi on renaît nue ? [LIBRE] EmptyLun 12 Nov - 22:05

Derrière son buisson, Georgiana ne bougeait pas. Elle savait se montrer discrète et écouter. Il faut dire que lorsque vous avez une liaison en dehors de votre mariage, la discrétion devient très vite votre allier principal. Elle était donc accroupie sans bruit, contractant ses muscles du fessier. Heureusement qu’elle avait monté à cheval pendant des années, acquérant ainsi une certaine musculature. Au moins, elle n’avait pas à bouger pour cause de crampes.

Le groupe que la femme observait devaient être des paysans. Ils portaient des tenues grossières qui lui faisaient penser au tapis de peau d’ours de son mari et dépeçaient un sanglier de manière vulgaire. Bien sûr, elle n’avait jamais dépecé un animal et n’avait jamais vu personne le faire. Peut-être bien était-ce la façon de faire. En tout cas, elle sentit bientôt l’odeur qui lui piqua le nez et lui donna des nausées. Elle se força à ne pas bouger et ferma les yeux, comme si l’odeur partirait avec la vue. Bien sûr, il n’en fut rien et la Duchesse se mit à respirer lentement en espérant que l’odeur finirait par s’enfuir.

Bientôt, alors qu’elle avait encore les yeux fermés, elle entendit une voix qui se fit plus distinctive que les autres. Curieuse, elle se permit d’observer de nouveau le groupe. Un nouveau membre venait d’apparaître. Enfin, membre… Il semblait plus civilisé mais n’était pas non plus un noble, vu son apparence. Seulement, il y avait quelque chose dans son allure et sa posture qui donnait l’impression qu’il était quelqu’un d’important. Il se tenait plutôt droit et avait des gestes qui laissaient à penser qu’il connaissait le monde des nobles. La femme ressenti alors de l’intérêt pour cet homme qui venait d’arriver dans un groupe qu’il ne semblait pas connaître et qui montrait des signes d’hostilités. Il parvint à s’imposer et s’intégrer dedans avec une facilité déconcertante. Il savait parler, il savait quoi dire pour s’attirer les bonnes faveurs d’un groupe.

De plus en plus curieuse par cet inconnu, la Duchesse écouta et observa encore plus. L’homme dépeça l’animal avec connaissance (bien que la vue et l’odeur restaient écœurant pour elle) et se posa à table avec ses hôtes. L’odeur qui émana du gibier cuit remplit bientôt ses narines et elle sentit la faim la traverser. Elle ne se rappelait pas avoir déjà eu autant faim. Depuis combien de temps n’avait-elle pas mangé ? Une question de plus qui s’imposait dans son esprit, à la suite de toutes les autres depuis son réveil. En même temps, elle ne pouvait sortir de sa cachette dans cette tenue. Sans compter qu’elle était la Duchesse ! Elle n’allait tout de même pas faire la quête auprès de paysans…

La discussion du groupe devenant longue et ennuyante, la femme décida qu’il était temps pour elle de partir. Elle devait rentrer chez elle et chercher à comprendre sa situation. Elle devait parler à son mari. Elle commença donc à se retourner lorsqu’elle entendit des bribes de phrases qui captèrent de nouveau sa curiosité. Le groupe, ou plus particulièrement, cet inconnu, avait évoqué l’existence de pierres magiques, ou pierres sacrées, elle n’avait pas trop compris. Cet homme semblait croire que des pierres pouvant réaliser tout souhait rêvé existaient. Georgiana était curieuse mais il y avait des limites. Des pierres magiques ? Ce n’était que dans les contes pour enfants. Surement que ces paysans rêvaient de temps en temps à ce qui pourraient les aider à avoir une vie meilleure. L’espoir fait rêver !

Leur conversation reprenant du mou, la femme reprit sa décision de base. Elle tourna donc le dos au buisson et se mit à marcher lentement en direction de son point de départ. Peut-être trouverait-elle quelqu’un sur son chemin qui pourrait l’aider à retrouver le sien. Toujours accroupie pour faire le moins de mouvements perceptibles possibles, la femme se déplaça non sans mal. Ce fut encore plus le cas de le dire lorsqu’elle ressentit un poids énorme la plaquer au sol suivit d’un cri qu’elle entendit à peine, préférant écouter le son de sa voix qui avait choisi de faire une apparition due à la surprise. Reprenant conscience de ce qu’il se passait, elle se rendit compte que l’inconnu était sur elle, couteau sur sa gorge. Elle était faite… Stressée, elle sentit son cœur battre à tout rompre et ses muscles se contracter.

Je… Je… Je n’ai rien sur moi… Aucune bourse, aucun vêtement à vous offrir… Laissez-moi repartir et je vous ferai envoyer de l’or par mon mari… Je… Je suis la Duchesse de Devonshire !

Décidement, cette situation devenait de plus en plus étrange…
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Louis XIV

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MessageSujet: Re: Euuuuh pourquoi on renaît nue ? [LIBRE]   Euuuuh pourquoi on renaît nue ? [LIBRE] EmptyMar 13 Nov - 23:41

Côtoyer gens et animaux étranges était devenu quasi routinier pour Louis depuis un certain réveil tumultueux. En tout cas, loin de l’étiquette de la cour, l’instinct de survie avait refait surface. Habitudes royales presque oubliées, celui qui fut surnommé Le Grand apprit à se méfier de tout. Il flairait arnaques et embrouilles, ce qui ne l’empêchait pas d’y tomber encore à pieds joints, parfois.
Chez les nouvelles personnes croisées, l’ex-roi ne décela aucune malice. Elles étaient paumées, ne cherchant qu’à subsister dans un environnement inusuel mais, même s’il ne s’imposa pas, on lui reconnut d’emblée un esprit habile, capable de décisions nettes. En d’autres temps et lieux, Louis se serait peut-être senti honoré d’un tel jugement. S’il apprécia, il n’en tira pourtant aucune gloriole. Il aiderait ces humains, en bon chrétien, malgré que ceux-ci ne lui soient d’aucune utilité dans le but visé, puis reprendrait sa quête personnelle.

De par ses longues nuits de garde dans différents campements partagés avec ses compagnons, les réflexes de Louis s’étaient aiguisés au point de ne pas rater la sensation d’être espionné. Ni une ni deux, il avait agi en conséquence et sauté sur le râble de l’observateur. Prêt à en découdre, il s’étonna de la faible résistance à son attaque mais moins que des paroles émises :


Je… Je… Je n’ai rien sur moi… Aucune bourse, aucun vêtement à vous offrir… Laissez-moi repartir et je vous ferai envoyer de l’or par mon mari… Je… Je suis la Duchesse de Devonshire !

*Dieu tout puissant !*

Lors de sa vie antérieure, riche en aventures mutines, Louis avait eu le bonheur de culbuter bien des fleurs. Prés, bois, alcôves et autres lieux plus ou moins exotiques avaient fréquemment ouï d’ébats royaux. Néanmoins, la situation inédite le scia. Non seulement il ne s’agissait pas là de galipettes -quoique le corps sous le sien fût indiscutablement féminin – mais l’agressée tenait des propos… sidérants qui arrêtèrent illico sa vindicte.
Qui, sinon une fraîche ressuscitée, pouvait tenir un tel langage ? À moins d’être actrice consommée ( chose possible) tout dans l’attitude, et parler fleuri, de la créature vêtue de feuillage prouvait panique mêlée d’éducation élevée.
Jamais long à la détente, Louis n’en fut pas moins confus. Il écarta le couteau du galbe nacré de la gorge et – bénie soit l’obscurité – il rougit aussi brusquement qu’il redevint blême et rogue :


Duchesse de Devonshire, voyez-vous ça ? Et moi je suis Louis-Dieudonné, Roi de France, XIVème du nom, tant qu’à faire !... On ne me la fait plus, ma petite dame !


Jouait-elle les incrédules ou l’était-elle réellement ? Ne sachant trop que décider, Louis lui accorda le bénéfice du doute.
Il n’était pas dit que, même réduit à sort infâme, Louis se conduise comme le dernier des manants. La lune – ô complice des aperçus savoureux – lui avait révélé quelques attributs très… avantageux. La dignité le força à éviter les manières rustres pourtant si communes en ce monde bizarre. Il ôta la tunique de laine rêche portée en surcot et la tendit à la jeune femme :


Vêtez-vous, voulez-vous ? À moins que ma sueur ne vous incommode. Je puis vous assurer avoir pris un bain ce matin ! Chichille tient à la propreté des corps.(Soupir)

Il lui tourna un dos pudique, se fichant un peu de ce qu’elle faisait. Démunie comme elle l’était cette femme ne pouvait représenter une réelle menace
.

Duchesse de Devonshire ? Vous me ferez grâce de détailler cette identité, si cela vous agrée et, toujours selon votre convenance, un cuissot de sanglier pourrait vous régaler au besoin…

Ou elle allait détaler ou elle l’accompagnerait près du feu.
Incertain, Louis se tourna vers elle…
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